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Faites connaissance avec le futur Manager Belgique, Luc Geerts

Interview avec le promoteur de la transition modale

Luc Geerts commencera début juillet chez NPRC en tant que Manager Belgique. Avec l’équipe, il développera davantage la proposition NPRC sur le marché belge. Luc n’est pas un inconnu dans le mode de la logistique en Belgique. Au fil des ans, il a occupé divers rôles dans le transport de marchandises et la logistique fluviale. Au cours de sa carrière, il a travaillé pratiquement à tous les niveaux de la chaîne logistique, ce qui lui permet de comprendre l’interaction au sein de la chaîne d’approvisionnement. Cela lui sera utile pour les projets de transition modale.

Comment êtes-vous arrivé dans le domaine de la logistique?

“Mon père travaillait dans le secteur du dragage et passait beaucoup de temps à l’étranger. C’est ainsi qu’il a également rencontré ma mère. L’étincelle a eu lieu au canal de Suez. En enfant, j’étais suspendu à ses lèvres lorsqu’il racontait ses aventures à l’étranger. Les photos de navires avaient un attrait magique pour moi. Je rêvais de voyages, quelque chose que j’aime faire avec ma femme Katrien.”

“Le caractère international de la navigation m’a toujours attiré. À l’âge de 18 ans, j’ai suivi de études en Navigation et Expédition à la Haute École Karel de Grote d’Anvers. C’est là que mon intérêt pour les affaires internationales avec différentes cultures a été encore plus stimulé.”

Pouvez-vous parler de tes anciens employeurs?

“J’ai commencé comme transitaire de projets cargo. Depuis les opérations, j’étais en contact avec les courtiers en cargaison, les débardeurs, les compagnies maritimes et les agents à l’étranger. La communication était encore un défi au début des années 90, car il n’y avait pas encore de courrier électronique. Mes compétences linguistiques étaient donc très utiles. Vers l’âge de 30 ans, j’ai commencé à travailler pour un grand chargeur. Pour ce producteur de sable, j’ai effectué la charte de navires côtiers et fluviaux. En plus de notre propre flotte de cinq kempenaars et trois navires de 80 mètres, nous avons également affrété chez divers tiers.”

Est-ce que votre amour pour la navigation intérieure a grandi pendant cette période?

“Le management d’une opération de navigation intérieure me donne beaucoup d’énergie. Au début du nouveau millénaire, j’ai eu l’occasion de diriger en tant que directeur un important prestataire de services logistiques dans le domaine de la navigation intérieure. C’est formidable de voir tous les processus au sein d’une entreprise s’harmoniser parfaitement, de servir les intérêts des exploitants de navigation intérieure, de soulager les clients et de guider les employés.”

Pouvez-vous parler de votre travail à De Vlaamse Waterweg?

“Les dernières années, j’ai travaillé en tant qu’indépendant sur divers projets de transfert modal. Avec le concept innovant Watertruck+, nous avons réussi à décharger de nouvelles cargaisons des routes belges en utilisant de petites péniches automotrices. Ces petites péniches permettent de desservir des régions et sont ensuite envoyées vers et depuis des voies navigables plus importantes en convoi. Ce concept a partiellement compensé la diminution du nombre de Spitsen et de Kempenaars.”

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Est-ce que le transfert modal est à l’ordre du jour sur le marché belge?

“Au sein de De Vlaamse Waterweg, une équipe travaille à identifier les opportunités de transfert modal. En tant que développeur de marché, nous recherchons avec les expéditeurs et les destinataires des opportunités pour la navigation intérieure. Si une analyse rapide montre que cela peut fonctionner, nous lançons un projet pilote. Le transfert modal reste difficile. C’est en fait plus un changement de mentalité pour y parvenir. Chaque projet de transfert modal est personnalisé et nécessite une vision de l’ensemble de la chaîne. Les obstacles doivent être identifiés et résolus ensemble.”

Avez-vous un exemple d’un projet transfert modal réussi?

“Pour le groupe Stow, un fabricant de racks d’entrepôt de premier plan, nous avons étudié les possibilités de transport fluvial. Cette entreprise reçoit chaque année 160 000 tonnes de bobines d’acier par camion en provenance de Gand et du port d’Anvers. En collaboration avec des partenaires de la chaîne d’approvisionnement, tels que le lieu de déchargement et le stockage temporaire, la Vlaamse Waterweg a réussi à convaincre le prestataire de services logistiques et le groupe Stow. Cela permet d’éviter 6 000 mouvements de camions par an. C’est très agréable sur les routes belges déjà surchargées.”

Et cette expérience est-elle bénéfique pour NPRC?

“Absolument, ce que j’apprécie chez NPRC, c’est son ambition en matière de durabilité et de numérisation. En partageant les données dans la chaîne d’approvisionnement, vous rendez le transport fluvial plus attractif. En plus, de nombreuses entreprises recherchent des solutions de transport plus durables. Elles se tournent de plus en plus vers l’ESG et le CSRD. Le reporting en matière de durabilité offre des opportunités pour le transport fluvial. J’ai hâte de travailler avec l’équipe pour les 150 entrepreneurs du transport fluvial. Ensemble, nous nous engageons à favoriser le transfer modal et d’autres opportunités.”

Quelle est votre première impression de NPRC?

“Pendant le processus de recrutement, je me suis immédiatement senti à l’aise. Il est formidable de voir qu’il y a beaucoup de jeunes employés au sein de NPRC. Dans un secteur confronté au vieillissement, c’est un point fort. J’ai hâte de travailler avec cette prochaine génération. En tant qu’équipe, nous pouvons rendre les services de NPRC pérennes et optimiser davantage les processus logistiques des clients.”

Pouvez-vous nous parler de vos projets?

“Tout tourne atour de la trinité des membres, des clients et des collègues. Je vais mettre l’accent sur une collaboration efficace entre ces groupes. Heureusement, Mario Lauwers va tout m’expliquer à ce sujet. En outre, je vais examiner de près le solide réseau NPRC. Nous avond des bureaux dans le principaux hubs européens et clusters industriels. La Belgique elle-même est importante pour le marché français. En fait, je considère Anvers comme le premier port français. Par conséquent, je vais suivre de près les développements en France. J’ai hâte de faire connaissance avec tout le monde.”

 

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Femke Brenninkmeijer, NPRC

Femke Brenninkmeijer

PDG